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  • La polémique mystérieuse sur la localisation d' Alesia, m'a fait prendre conscience des fondements insoupçonnés de notre civilisation. Depuis, stimulé par mes découvertes, je m'immisce dans l'actualité tachant d'en éclairer le substrat et orienter l'avenir
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 ALESIA voir ALTAR-EFC
ornans et courbet
28 juin 2014

De Marie Madeleine " la pécheresse pénitente" à "l' Origine du Monde " ... scandaleux tableau de Courbet.

 

 

courbet christ (2)

Etrange oeuvre de Courbet, " Jesus devant un calice"

  Sans détour, et pour vous inciter à parcourir ce billet au combien significatif sur mes intentions... Je peux vous assurer que ce tableau recèle une clé essentielle pour aider à comprendre la psychologie et l'engagement de cet artiste. Et s'il en est ainsi... défier l’Ordre du Monde !

  Les mains disproportionnées du Christ face au "Graal" ( le calice) forment les initiales MM, soit Marie Madeleine !

    Pour étoffer, ce que j'ai à vous dire et en définir le substrat et l'interêt, vous pourrez lire en annexe les deux textes que je mets en référence...  L'un est un commentaire assez complet apposé sur Amazon à propos de mon livre ( finissant par l'intrigue en vogue sur l'éventuelle liaison entre Marie Madeleine et Jesus) L'autre, est  la copie d'un de mes chapitres " les rois du monde" illustrée d'une peinture anonyme de la célèbre pécheresse .

Mais auparavant, un petit rappel et présentation de ce célèbre peintre controversé...

 

 

   On a beaucoup écrit sur Gustave Courbet, toutefois, en marge de la plupart des esprits conformistes modernes de circonstance voulant voir ce peintre comme comme "réaliste", je pense que celui ci a aussi cherché à léguer à la postérité un secret  fort dérangeant. Lequel, s'il était avéré mettrait mal à l'aise ses biographes qui pour la plupart y voient un être anti-clérical... Ils ont certes raison, mais pas dans le sens où ils l'entendent..

 Comme vous le voyez,  je suis souvent amené à traiter de sujets délicats mais essentiels.  Mais là, plus que d'habitude, je dois avouer être embarrassé tant cette oeuvre "apparemment inachevée"  et inhabituelle de Courbet me semble révélatrice et à la fois obscure. Aussi fais je appel à votre sens du discernement, même si cette figure vous semble anodine.

 Je connaissais déjà ce tableau et j'avais déjà remarqué les indications qui vont suivre, mais j'étais alors accaparé par la rédaction de mon premier livre (publié à l'imprimerie d'Ornans) mais  je ne voulais pas ajouter à la confusion. 

    " Jésus devant un calice" est une oeuvre datant approximativement  de 1847. Elle est exposée au musée d'Ornans, petite cité de caractère où vécu Courbet dans sa jeunesse et où il revint très souvent chercher l'inspiration et aussi bien sur, coucher sur la toile de splendides figures paysagère et autres scènes de phénomènes sociétaux de l'époque qui caractérisent si bien ses penchants réalistes et virils.  L'artiste  réalisa ce tableau,  soit disant à la demande de sa soeur pour un reposoir (...) .  Pourtant, bien que considéré comme une esquisse, ce qui dénote d'après la présentatrice ( les élus dont je suis récemment , ont eu droit à une visite d'exception par des spécialistes en histoire de l'art à l'occasion de l'exposition temporaire de l'été voir ci dessous ) sont les étranges incohérences ou disproportions du divin personnage en prière. En effet, d'après les experts, outre le format grandiloquent dans lequel est exposé ce "croquis" (réservé d'habitude aux oeuvres majeures... achevées), on peut remarquer la démesure des bras et surtout des mains... Imperfections qui s'avèrent  étranges et surprenantes de la part d'un peintre -déjà mature- de talent considéré comme réaliste !..

  C'est donc sur ce détail que pour moi se révèle le message caché -ésotérique- des plusieurs oeuvres de cet homme qui, loin de sa contrée natale a fréquenté les salons parisiens où il fut initié à certains secrets d'histoire (...) . D'autant que celles ci rejoignent sensiblement mon discours ...  En particulier, également ces deux tableaux 

 -   "l 'origine du monde" 

origine du monde

Tableau à scandale mais qui dénote aussi par son titre une double intention... (voir pour moi "archétypale")   et aussi à la vue de certains critiques d'art qui voient dans cette figure : la source de la Loue (rivière qui traverse Ornans, mais aussi on le sait depuis, fille du Doubs) . 

 D'autant que je place l'origine de notre civilisation dans le massif du Jura. 

 

" le chêne de Flagey ou chêne de Vercingétorix  (dans ce lien chacun pourra lire le clin d'oeil à Alesia)

 

 

 

  ANNEXE 1  Amazon

Ce fut un plaisir de lire le livre de Jean-Claude Bonnot. On sent dans son style beaucoup de souplesse. Le livre comprend trois parties : La première très courte qui me rappelle la vieille France quand cela sentait bon le foin. Cependant, j’aurais voulu qu’il écrive encore plus dans ce style et j’espère qu’un jour il le fera en écrivant un roman sur la France au début du 20ème siècle. Le parler des paysans apporte beaucoup de chaleur dans ses premiers dialogues et la couverture du livre ne fait que compléter la nostalgie que je ressens pour la vieille France. Toute l’atmosphère est dans cette couverture. Je ne cesse de la regarder pour m’imbiber de mes sentiments de jeunesse. La fierté, les illusions et la liberté de ce jeune homme sur les chevaux nous captivent mais en même temps nous effraient, car on devine que ce jeune homme subira une vie bien loin de ce qu’il aurait pu s’imaginer dans sa prime jeunesse. On sait que ses « illusions perdues » le ravageront physiquement et mentalement, cet homme qui vit juste à l’orée où le paysan deviendra un ouvrier, la misère probablement collée à sa peau. La deuxième partie sur les Mandoubiens : Je suis restée sur ma faim, j’aurais voulu que le roman, qui se déroule du temps des Gaulois et des Romains, continue à l’infini. L’amour entre le Centurion et la Gauloise est d’une grande tendresse parsemée d’embuches. La troisième partie entame la philosophie de l’auteur et sa soif de connaître la vérité. Il pense que l’histoire telle qu’elle nous fut racontée est brodée de mensonges. Pourtant le passé est un ingrédient nécessaire pour pouvoir bien nous connaître. Ce livre me rappelle Le Code Da Vinci dont j’avais pensé que le sujet n’était que de la fiction. Cependant je m’étais posée cette question : « serait-il possible que Marie-Madeleine ait été l’épouse du Christ ? », une idée subversive et scandaleuse pour la chrétienté. Après avoir lu L’éclaireur, plus que jamais je pense qu’on nous a mentis, même les vestiges de la lignée de Marie-Madeleine pourraient expliquer que le Jura fut la terre choisie et que le corps du Christ aurait été enseveli en Gaulle. Alors cette phrase, selon un ancien prêtre bibliothécaire au Vatican, « Dieu existe mais pas Jésus » ouvre une boite de pandores que peu de personnes n’oseraient ouvrir.
A vous de voir et de vous forger une opinion.

 

ANNEXE 2

 Livre/ L'Eclaireur d' Alesia au Christianisme.... chapitre " LES ROIS DU MONDE"

 

 

Marie-Madeleine ? (La pécheresse pénitente) Œuvre anonyme

 

  Dans cette peinture, la plupart reconnaissent Marie-Madeleine, priant dans une grotte comparable au tombeau  du Christ. Notons cependant que le crâne disposé sur le rocher, ainsi que le livre ouvert, incitent au    questionnement sur la véracité de la résurrection.

 

 

LES ROIS DU MONDE

 

  Après un lapse de temps indéfini,  sous les yeux impassibles  de notre éclaireur, Sophie finit par s’étirer avec semble-t-il délectation… Quand soudain, elle sursaute en apercevant l’ombre de son compagnon pratiquement penché sur elle.  Puis :

- Ho, la la !  Je vois, fit elle  avec un large sourire – Je me suis assoupie, j’étais exténuée… et maintenant il fait nuit. Quelle heure est-il ? Où est mon portable ?  Allume la lumière s’il te plaît, tu es inquiétant dans le noir…

- Il n’est pas encore minuit. Tu t’es assoupie aussitôt allongée, j’aimerais pouvoir en faire autant, mais ici je reste concentré… Du reste c’était si touchant de te regarder dormir auprès de moi, pour un peu il me serait venu des idées…

- En tout cas, il me semblait faire un beau rêve… dit-elle en remontant sa couverture. – Mais … Oh mon Dieu, je ne me suis même pas déshabillée, tourne-toi que j’aille faire un brin de toilette et mettre une chemise de nuit.

 Une fois de retour, Sophie demanda à son guide :

- Maintenant,  je suis éveillée, tu peux continuer à me décrire cette famille de la Roche qui m’intrigue de plus en plus, je l’avoue.

   Jean-Charles   tenta une explication hardie.

- Le nom « de la Roche » soit « Roch » est un terme celtique qui fait référence à la fois à la dureté, mais aussi à « La Base ». Ne fait-on pas dire au Christ dans les évangiles « Tu es Pierre et sur cette Pierre je bâtirai mon Église ! »  Roch devant se traduire Pierre ou Petra en latin.

- Tu ne trouves pas que c’est un peu tiré par les cheveux, comme explication ? Coupa Sophie.

- Si tu m’interromps sans cesse, tu n’apprendras rien. C’est dans la globalité et la cohérence qu’il faut juger, j’ai déjà dû te le dire « le diable se cache dans le détail ». Je poursuis.

  En généalogie, nous n’avons guère d’éléments avant l’an mil.  Trois noms sont usités pour une seule et même famille : "de la Roche, Dramelay et Neufchâtel". Les familles nobles avaient pour coutume déroutante pour nos contemporains, de prendre pour patronyme les noms de certaines de leurs terres, selon l’humeur des scribes, ce qui est à l’origine de nombreuses erreurs généalogiques.

  Dramelay est l’ancien nom du « Tremble ». Cet arbre a la particularité de se reproduire par la racine. 

- Comme les fraisiers !Je vois que tu n’es pas encore endormie. Donc, comme pour ce système de reproduction radiculaire, il faut bien un commencement … ?

-  Hem ! Je te vois venir… Euréka ! Celui qui porte le nom générique de Dramelay ou Tremblay serait la branche ou la « racine mère ».

- En effet, mais… Il nous en faudrait un peu plus pour convaincre les historiens… Néanmoins certains spécialistes doivent pouvoir comprendre que la dénomination, surtout en ce qui concerne les aristocrates, déterminait leur rang et leur fonction. Ce sont des conceptions religieuses qui nous viennent du paganisme, soit des druides.

  - Ne m’as-tu pas dit qu’un grand maître Templier portait le nom de Dramelay ? Se pourrait-il que ce soit une personne de la famille de la Roche ?

  - En effet, comme je te l’ai dit, leur dénomination se rattache à la même fonction, c'est-à-dire à la base.  On pourrait même dire, le Sang Royal ou Saint-Graal…

- Quoi ? Qu’est que ça veut dire ? Tu penses qu’il y aurait un lien ?

- Oui, entre le Saint-Graal (la coupe) et le Sang Royal… C'est-à-dire les descendants du Christ que sont les rois de France.  Tout du moins selon l’instigation de l’Église… En fait, le lien du sang est aussi celui de la racine, donc de la famille Dramelay – de la Roche en Bourgogne. 

  Tout féru d’histoire, ayant un minimum d’esprit de synthèse, sait très bien que notre pays la France a été, du fait de sa situation géographique, le théâtre de nombreux bouleversements. J’en sais quelque chose pour m’être occupé de l’affaire d’Alésia… Mais  j’y reviendrai…

- Ça je n’en doute pas… Soupire Sophie.

- En suivant la piste religieuse, prise au sens premier de « relié », nous nous abreuvons à la source de notre civilisation. L’avènement du Christianisme ayant eu un rôle déterminant sur notre vieux continent, puis plus tard sur le reste du monde, il convient de rappeler à toute l’humanité, sans être chauvin, que c’est Clotilde, une princesse Burgonde c'est-à-dire Bourguignonne, qui fut proposée par l’Église à Clovis le roi des Francs, pour en faire un chrétien, catholique Romain. 

- Si, j’ai bien compris, renchérit Sophie, c’est donc elle qui transmet le lien sanguin ? Donc les nobles Bourguignons ou Francs-Comtois, avaient eux aussi toutes les raisons de se revendiquer de sang royal !

- Mieux que çà ma belle… De sang divin ! D’où l’origine de bien des querelles entre la France et la Bourgogne ; de grands monarques, avec certes parfois de bonnes intentions comme Charles-Quint, ont dans leur temps postulé au titre de « roi du monde ». Louis XIV aussi par le rétablissement de la monarchie absolue, se faisait appeler : « Roi Soleil ». Le château de Versailles devait être la manifestation de son rayonnement. Enfin Napoléon III, en recherchant Alésia, a voulu démontrer aussi la légitimité de la France dans ses visées hégémoniques… On sait les tragédies qui ont suivi. Il n’en demeure pas moins que le concept de "monarque éclairé" sous-entend une perfection divine… Encore faut-il que le « culte du Soleil » soit dans l’air du temps…

- Hem, tu extrapoles ton sujet, comme d’habitude.  Que vient faire cette notion de « roi du monde » ? Y a-t-il vraiment eu une revendication ou une légitimité précise à ce sujet ?

- Bien sûr, et si le profane ne s’en soucie guère, les « initiés » prennent ce concept de « Rex Mundi » très au sérieux. Mais, je t’en ai déjà parlé… Souviens- toi que ce genre d’assertion ne doit pas être pris à la légère. Si les Gaulois ou les Celtes croyaient en un « Roi du Monde », il n'est pas étonnant que cette fonction suprême ait été par la suite attribuée à Jésus-Christ qui est « l’Homme-dieu ».

- Mais si l’on poursuit avec une telle logique, continue Sophie, pour que les nobles Burgondes ou plus tard Mérovingiens soient de « sang divin » il aurait fallu que Jésus ait des enfants !

- Voilà bien toute la question… Même si des organisations plus ou moins « ésotériques» ont véhiculé cette version sous le manteau, parfois même comme un "fonds de commerce", il existe bien une part de vérité qui a dû intriguer les légats de l’Église. Il est même possible, quand on connaît le caractère scrupuleux avec lequel étaient désignés les jeunes dauphins, que « l’héritage génétique » devait absolument être conservé.

 - Ce qui nous fait arriver à cette fameuse version tant décriée où le Christ aurait eu une descendance avec Marie-Madeleine ! s’exclame à nouveau Sophie – Celle-ci aurait même fini ses jours en Gaule…

- Selon toute vraisemblance, cette version était certaine de faire son chemin parallèlement au discours officiel de l’Église. En tout cas, afin de transmettre la filiation à la descendance du roi des Francs, la papauté dans son choix de princesse, c'est-à-dire de « sang royal », a dû sérieusement contrôler sa généalogie. 

    De mon humble avis, je suppose même que le Vatican, par mansuétude et au moyen de tous ses arcanes, a sûrement tenté d’organiser et contrôler les courants dissidents. Ceux-ci ne manqueront pas de naître tout au long de son histoire… de l’hérésie d’Arius et des Cathares jusqu'à celui des Templiers !

-  Tu veux dire par là que le Saint Siège détiendrait quelques secrets inavouables sur la nature même de Jésus ! Y compris même… Pendant qu’on y est… sur la résurrection ! Je te vois venir… Mais, nous pourrons très bien en reparler plus tard, la théorie du complot revenant toujours quand le cheminement défie la logique.   

   Nous sommes venus en Grèce, sur les traces de la famille de la Roche  dont les ancêtres, contemporains de ces fameux Templiers, reposent. Le lien est donc évident. Résume-moi, globalement, l’épopée de ces « soudards » au service de l’Église… J’avoue quelques lacunes à leur sujet. Pourtant, dès que l’on s’aventure dans l’histoire parallèle ou l’ésotérisme, on finit toujours par les rencontrer.

 

JEAN CLAUDE BONNOT

 

 

 

 

 

   

 

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