Après l' Eclaireur... l' Eveillé !
Escaliers de la « descente aux enfers » circuit touristique proposé par l’association ALTAR Europe Franche-Comté
Grotte du Chateau de la Roche Saint-Hippolyte sur le Doubs
Encore une manigance pour vendre mes livres ? Comme l'affichent mes détracteurs... pourtant, nous sommes bien dans un cas de preuve manifeste ! desservi par la providence ou ma perséverance ... Peut importe " le succès n'a pas besoin d'explication " . Ci dessous, je vous informe de ma decouverte (plusieurs dizaines de pièces gauloises dans la grotte où je situais le "sanctuaire des Mandubiens - habitants d' Alesia" voici maintenant plus de 20 ans ! J'en profite donc pour faire une réédition livres . Aidé en cela par l'association
ALTAR Europe Franche-Comté
Cette publication tient lieu de déclaration officielle en prenant par là même la population à témoin ! Je viens même de prévenir la presse !... tout en étant conscient désormais que les services de l'archéologie ont été prévenus.... au vu de la défection d'un de mes futurs associés, témoin direct.... compétent et agréé pour produire un rapport de fouilles en bonne et due forme. A l'entendre il aurait subit des pressions pour se retirer.... suite à notre déclaration d'association de " tourisme identitaire" à la Sous-préfecture de Montbéliard !
Un aperçu des documents mis au jour dans le lit du ruisseau souterrain... pour moi comparable au Styx, fleuve des enfers dans la mythologie grecque ...
Espérons qu'un jour la frilosité des archéologues due à l'affaire d' Alesia s'estompe pour ne reconsiderer que leur vocation... Les offrandes aux defunts se trouvent sous la couche de tuff sur des centaines de mètres... avec en prime un "puits à offrandes" au lieu dit " la Tannerie" .... La sortie des égouts de Chamesol se deversent dans la grotte !
Dans le tréfonds, plus question de propriété privée ou de dommages causés au patrimoine ! de nombreux objets, témoignages d’une identité et un savoir faire insoupçonné doivent être encore enfouis, perdu à jamais pour la science et l’éclairage sur les origines de notre civilisation… dont nous sommes encore aujourd’hui dépendant !
Ci dessous l' ébauche du 4 e de couverture que je compte afficher au dos de mes livres en cours de réédition !
L’Eveillé ! Voilà bien un écho à ce livre, tout en inspirant l’auteure de cette toile qui reproduit une monnaie gauloise significative et apporte ainsi indirectement son concours à cette intrigante affaire de la localisation d’ Alesia (cité conquise par les romains en 52 av JC). Tout comme l’étiquette d’historien romancier, sous laquelle je m’affiche ici.
En effet, l’archéologie est une matière trop importante pour être laissée aux seuls archéologues… Allant même s’opposer si l’on y prend garde au « droit de savoir » le plus élémentaire et par là même l’éclairage salutaire à notre société en devenir. « Si tu ne sais plus où tu vas, regarde d’où tu viens ! »
L’effigie de cette pièce attribuée aux Séquanes - peuplade celtique - représente l’être d’Eveil, « druide savant » qui hante nos mémoires collectives, voire encore le « Messie » En attestent ses attributs : l’œil vif et démesuré d’éveillé, lèvres ouvertes dispensatrices de sagesses et directives etc… (plusieurs dizaines d’exemplaires viennent d’être mis à jour récemment , corroborant ce que j’écrivais dans mon précédent ouvrage en 1996 « le Mystère des Mandoubiens » )
En couverture, une autre toile reproduit l’intrigue et la persévérance du chercheur, au gré de textes et ascèses des plus obscurs aux plus éclairés. Alternant du roman historique à des comparaisons scientifiques des plus avancées, pour en arriver - via l’épopée Templière des croisades- dans les profondeurs d’une caverne où il situe l’aune de notre civilisation… de l’Enfer au Paradis.. soit aux « Monts-Jura » (terme signifiant en latin : juss, juris, justice )
Jean-Claude BONNOT
Extrait de mon livre « le Mystère des Mandoubiens » édité en 1996 où j’indique le lieu !
Vous comprendrez qu'il n'est pas dans mon intention de piller à mon profit ce genre de sanctuaire, mais je n'ai d'autre choix que de vous prendre à témoins afin que cette découverte vienne éclairer l'histoire de l'humanité !
Voici un extrait de mon livre publié en 1996/ et un article de mon blog, bonne lecture !
»… A ce moment, dans le tréfonds, le son des eaux bouillonnantes du cours d’eau se fait entendre. Sans la moindre hésitation, témoignant ainsi de leur accoutumance des lieux, les hommes s’engagent d’un pas sûr dans le ténébreux abîme… La progression semble périlleuse, mais des escaliers de bois ont été aménagés dans les passages les plus difficiles et tout se déroule en bon ordre. Une fois en bas, le cortège marche dans les graviers du lit du torrent qui, pour la circonstance a été savamment canalisé contre un côté de la paroi, avec des plateaux de bois joints à l’argile. Maintenant le vacarme de l’eau prend un net ascendant sur les chants funèbres et l’humidité glaciale envahit le corps de bien des participants. Une centaine de pas en amont, la clarté de plusieurs torches en travers de la galerie apparaît. Arrivé à cette hauteur, un énorme rocher entrave partiellement le couloir. Celui-ci, illuminé sur sa face plane, est disposé de façon à servir d’autel. Habitués à cette manœuvre, les porteurs déposent délicatement un corps sur l’édifice ; puis, l’ensemble des assistants s’assemble autour. Une ultime bénédiction doit avoir lieu… L’officiant principal s’avance, saisit l’encensoir et le balance au-dessus de la dépouille tout en prononçant les paroles rituelles ; de l’eau et du sel sont également au « menu ». Puis le second corps est à son tour « purifié ». Aucun autre discours n’est prononcé, tant ces lieux sont hostiles aux vivants. Ensuite les cadavres sont transportés en amont jusqu’à leur fosse respective (toujours dans le lit du cours d’eau) préalablement creusée par les serveurs du lieu. Sous la surveillance du prêtre qui récite une dernière prière, les corps sont déposés avec leurs offrandes, puis recouverts d’argile et ensuite de sable. L’eau chargée de calcaire viendra former une couche de tuf et le défunt sera préservé un long moment d’une décomposition inévitable… propre à tout corps matériel. Halmar présent avec son disciple, soulagé de voir leur mission accomplie, avant de remonter, finit d’expliquer l’aspect « mécanique » des choses, car pour eux la version symbolique est bien maîtrisée… « Tu vois Hamilcar, dès que nous aurons quitté les lieux, les « fossoyeurs » vont libérer le torrent et l’eau va envahir tout le fond de cette galerie, en période de crue celle-ci passe même par-dessus la pierre d’autel.
— La force en action doit être terrible, avec le temps les corps doivent être déterrés et emportés !
— Evidement, mais les restes des dépouilles prennent le chemin de ce trou obscur, là, à l’endroit où notre chemin se sépare du lit du torrent… Nul ne peut y accéder, cet endroit est considéré comme sacré, donc interdit. Ensuite, après un périple tumultueux, où rien ne lui résiste… l’eau jaillit à l’extérieur par la cascade que nous avons vue en montant.
— Cette perspective me glace le sang, j’espère que mon âme ne prendra pas ce chemin… et rejoindra les Champs Elysées.